• Accueil
  • Abonnement magazine
  • Publicité
  • Petites annonces
    • Offres/demandes d’emploi
    • Vente de matériel d’occasion
    • Achat de matériel
    • Fonds de commerce
  • Salons à venir
  • Infopro Digital Trade Shows
  • Contact
C-Mag
  • MARCHÉ & ENTREPRISES
    • Évènements
    • Actualités
    • Focus
    • Zoom
    • Tribune
    • E-business
  • OBJETS PUBLICITAIRES
    • Goodies & primes
    • Ecriture
    • Bureau
    • High-tech
    • Smartphones & tablettes
    • Voyage
    • Art de vivre
    • Cadeaux d’affaires
    • Jeux & jouets
    • Plein air
    • Bien-être & sécurité
  • TEXTILE PROMOTIONNEL
    • T-shirts & tops
    • Sweat-shirts
    • Vestes
    • Headwear & accessoires
    • Workwear
    • Chemises
    • Sport
    • Collections enfants
    • Linge et éponge
  • IMPRESSION & MARQUAGE
    • Impression numérique directe
    • Impression UV
    • Sublimation
    • Transfert & Flex
    • Sérigraphie
    • Broderie
    • Doming
    • Gravure laser
    • Impression 3D
    • Impression grand format
  • TECHNIQUES DE PERSONNALISATION
    • Impression numérique directe
    • Transfert
    • Sublimation
    • Sérigraphie
    • Broderie
    • Infographie
Faut-il intégrer ou sous-traiter ses programmes de broderie ?

Programmes de broderie : intégrer ou sous-traiter ?

/30/04/2019/6987/
BroderieTECHNIQUES DE PERSONNALISATION

Dans les entretiens préalables à mes actions de formation, les apprentis brodeurs me parlent souvent des problèmes qu’ils pensent rencontrer sur les techniques de broderie et l’utilisation de leurs machines, mais rarement des problèmes liés à la programmation. Il me semble important de rappeler qu’un bon brodeur, équipé d’une machine parfaitement réglée, ne pourra obtenir de résultat satisfaisant sans un excellent programme de broderie. Or, trop souvent, de très belles réalisations techniques comportent des défauts flagrants de programmation.  

Nous allons donc faire un tour d’horizon des différents logiciels présents aujourd’hui sur le marché, puis nous nous interrogerons sur l’opportunité d’investir ou de faire sous-traiter ses programmes.

#1 LES LOGICIELS

Il existe plusieurs niveaux de logiciels. Je les ai classés en trois catégories :

  • Les logiciels dits « familiaux » : plutôt destinés aux particuliers ou aux brodeurs disposant de la machine associée ou désirant faire un apprentissage en douceur du piquage. Ceux-ci offrent en général des fonctions de création de lettrage, des bibliothèques de dessins préprogrammés et la possibilité, pour certains, de faire la vectorisation automatique à partir de fichier image et du piquage traditionnel. Tous ces logiciels, qui restent malgré tout assez complets, conviennent plus pour des productions de logos peu complexes et nécessitant un temps de piquage relativement court.

– Drawings (éditeur Wings)
– DG Creator (éditeur Pulse)
– PE Design (éditeur Brother)
– Stich ERA (éditeur Sierra Technology)
– Embird (éditeur Embird)
– Digitizer (éditeur Janome)
– DesignerPlus (éditeur Bernina)
– 6D™ Embroidery (éditeur Husqvarna)
– Premier + (éditeur Pfaff)

 

  • Les logiciels semi professionnels : les logiciels semi professionnels offrent les mêmes bases que les logiciels familiaux, mais possèdent, notamment au niveau du paramétrage et de la saisie, des fonctions supplémentaires permettant de gagner du temps de programmation et d’affiner la qualité de ses programmes.

– Embroidery Studio e4 Decorating (éditeur Willcom)
– DG Illustrator Extreme (éditeur Pulse)
– Drawings (éditeur Wings)
– Stitch & Sew (éditeur Compucon)

 

  • Les logiciels professionnels : les logiciels professionnels reprennent toutes les fonctions des précédents, avec des possibilités très importantes de création au niveau des types de points et des effets, ainsi qu’une digitalisation et un paramétrage particulièrement performant.

– Embroidery Studio e4 Designing (éditeur Willcom)
– DG Maestro (éditeur Pulse)
– Modular (éditeur Wings)
– eXPerience (éditeur Wings)

broderie-logiciel-piquage© Wings

#2 INTÉGRATION OU SOUS-TRAITANCE

Les budgets sont bien évidemment proportionnels aux possibilités et aux fonctionnalités du logiciel. Comptez à partir de 1000 euros pour un logiciel familial et jusqu’à près de 8000 euros pour les versions les plus avancées. Compte tenu de l’investissement financier et de l’apprentissage complexe du piquage, beaucoup de brodeurs se posent la question de savoir s’il est judicieux d’intégrer le poste piquage à son activité ou de sous-traiter ses programmes.

Pour un brodeur qui débute, je conseille plutôt de se concentrer sur l’apprentissage des techniques de broderie et de commencer, dans un premier temps, par sous-traiter ses programmes. Equipé d’un logiciel d’entrée de gamme, le jeune brodeur pourra découvrir, à travers ses propres créations et les programmes qu’il fera sous-traiter, l’activité piquage. Il ne faut pas oublier que pour devenir un bon piqueur, il faut d’abord être un bon brodeur.

Pour un brodeur en activité, la réponse n’est pas aussi simple. Le poste piquage d’une entreprise industrielle de broderie est très souvent un poste à temps plein. La possibilité d’être totalement indépendant a ses avantages : autonomie, réactivité, rapidité et, surtout, la possibilité d’affiner ses programmes par rapport aux caractéristiques de son parc machines. Cependant, ce poste représente un coût et le chef d’entreprise peut légitimement se poser la question, compte tenu des tarifs très bas des entreprises sous-traitantes de programmes, d’un tel investissement (logiciel et personnel).

broderie-programme© C!Print

#3 LES PIÈGES À ÉVITER

  • La vectorisation automatique, que tous les éditeurs de logiciels mettent en avant pour « impressionner le prospect », a ses limites. Elle n’est bien souvent pas exploitable en l’état, dans le cas de logos plus complexes. Il est pratiquement obligatoire de retoucher une vectorisation automatique. Beaucoup de brodeurs débutants, émerveillés par les démonstrations, pensent, au vu des résultats qu’ils obtiennent, qu’ils ne savent pas broder, alors qu’il s’agit souvent d’un problème de programme.
  • Pour les brodeurs industriels qui font appel à de la sous-traitance, et pour l’avoir testé personnellement, certaines entreprises de programmation font réaliser leurs programmes en Asie. La saisie des programmes est généralement bien réalisée, mais l’organisation du dessin est souvent faite en dépit du bon sens (abondance de coupe-fils et de changements de couleurs, la plupart du temps inutiles). Cette mauvaise organisation de votre programme peut générer des temps de broderie supérieurs, dans certains cas, à 30 % du temps normal de broderie. Alors vérifiez et n’hésitez pas à retoucher ou faire retoucher.

Photo d’ouverture © C!Print

Découvrez les autres articles de la rubrique « Broderie »


À PROPOS DE L’AUTEUR
Autodidacte de la broderie, Olivier CETRA fonde, il y a 15 ans, la société Globe Brodeurs Associés. À force de travail et de persévérance, il impose grâce à sa vision moderne du métier, ses valeurs de qualité et de service. Son entreprise, installée à Nice depuis 1996 et composée d’une équipe jeune, dynamique et professionnelle, réalise tous les styles de broderie sur tous types de supports, quelles que soient les quantités.

Flux Salon CTCO

  • CTCO 2023 : UNE VIVE ÉDITION !
  • De nouveaux produits chez Goldstar!
  • Les vêtements écologiques et collections upcyclées par Kingly
  • Stanley Stella continue d’innover en construisant le showroom du futur et en introduisant le softshell
  • Le Canotier de OleHats

C!Mag

Le magazine du textile promotionnel, de l’objet publicitaire et des techniques de personnalisation

Mentions légales
Paramétrage Cookie
RGPD / GPDR

  • Accueil
  • Abonnement magazine
  • Publicité
  • Petites annonces
    • Offres/demandes d’emploi
    • Vente de matériel d’occasion
    • Achat de matériel
    • Fonds de commerce
  • Salons à venir
  • Infopro Digital Trade Shows
  • Contact

Archives

  • mai 2023
  • avril 2023
  • mars 2023
  • février 2023
  • janvier 2023
  • décembre 2022
  • novembre 2022
  • octobre 2022
  • septembre 2022
  • août 2022
  • juillet 2022
  • juin 2022
  • mai 2022
  • avril 2022
  • mars 2022
  • février 2022
  • janvier 2022
  • décembre 2021
  • novembre 2021
  • octobre 2021
  • septembre 2021
  • juillet 2021
  • juin 2021
  • mai 2021
  • avril 2021
  • mars 2021
  • février 2021
  • janvier 2021
  • décembre 2020
  • novembre 2020
  • octobre 2020
  • septembre 2020
  • juillet 2020
  • juin 2020
  • mai 2020
  • avril 2020
  • mars 2020
  • février 2020
  • janvier 2020
  • décembre 2019
  • novembre 2019
  • octobre 2019
  • septembre 2019
  • juillet 2019
  • juin 2019
  • mai 2019
  • avril 2019
  • mars 2019
  • février 2019
  • janvier 2019
  • décembre 2018
  • novembre 2018
  • octobre 2018
  • septembre 2018
  • août 2018
  • juillet 2018
  • juin 2018
  • mai 2018
  • avril 2018
  • mars 2018
  • février 2018
  • janvier 2018
  • décembre 2017
  • novembre 2017
  • octobre 2017
  • septembre 2017
  • août 2017
  • juillet 2017
  • juin 2017
  • mai 2017
  • avril 2017
  • mars 2017
  • février 2017
  • janvier 2017
  • décembre 2016
  • novembre 2016
  • octobre 2016
  • septembre 2016
  • août 2016
  • juillet 2016
  • juin 2016
  • mai 2016
  • avril 2016
  • mars 2016
  • février 2016
  • janvier 2016
  • décembre 2015
  • novembre 2015
  • octobre 2015
  • septembre 2015
  • août 2015
  • juillet 2015
  • juin 2015
  • mai 2015
  • avril 2015
  • mars 2015
  • février 2015
  • janvier 2015
  • décembre 2014
  • novembre 2014
  • octobre 2014
  • août 2014
  • juillet 2014
  • juin 2014
  • mai 2014
  • avril 2014
  • mars 2014
  • février 2014
  • janvier 2014
  • octobre 2013
  • septembre 2013
  • juillet 2013
  • juin 2013
  • mai 2013
  • avril 2013
  • février 2013
  • décembre 2012
  • novembre 2012
  • juillet 2012
  • juin 2012
  • février 2012
  • novembre 2011
  • juin 2011
  • mai 2011
  • mars 2011
  • décembre 2010
  • juillet 2010
  • juin 2010
  • avril 2010
  • juin 2009
  • juin 2007
C-Mag

© Infopro Digital Trade Shows